mardi 26 juillet 2011

Quand j'entends le mot Marine, je sors mon Prévert...

Pire que le bromure, oui Pire. Ce sont les ravages d'un discours et la fasciste blondasse le vomit tout entier. Morceaux par morceaux elle déballe son sac. Elle a pioché dans le vif de notre travail et pillé les fruits de notre réflexion.
En peu de mots : elle nous HACK.
Là voilà en Jeanne d'Arc numérique, garante de nos libertés et enfourchant notre cheval de bataille. J' exècre les partis politiques en place, tout au plus seul le parti Pirate offre une nouvelle perspective, une sorte de carré frais au-dessus de la tambouille politicienne.
Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut avoir la faiblesse d'ingurgiter des mensonges bien plus colossaux, des mensonges à se faire noircir le soleil, ceux à taille inhumaine et qui mettent de l'horreur dans l'assiette de nos cerveaux.
Car il faut la voir, la voir et l'entendre, cette petite gueule d'hormone mal agencée racler à tout va dans la besace de nos libertés en devenir, et piocher dans le patient travail de lutte de chacune et de chacun d'entre nous : lecteurs(trices), bloggeurs(ses), journalistes, hackers(euses), développeurs(ses)... nous autres, anonymes et garant(e)s du peu de liberté qu'il nous reste.
Il faut la voir, il faut la voir et l'entendre cette douce arrière cour des horreurs, l’héritière des kapos des camps de la mort, des collabos franchouillards, des assassins d'enfants, de vieux, des assassins du peuple Juif, du peuple Tzigane, des homos, des francs maçons... de toute têtes qui n'étaient pas alors labellisées PURes. Il faut bien la voir, bien l'écouter, et bien prendre toute la mesure de toute l'horreur de tous les siècles qu'elle colporte cette petite gueule d'hormone bercée trop près des barbelés électrifiés.

Nos système organisent le saccage à ciel ouvert, à tout crin, à belles enjambées et épuisent nos corps, tendent nos esprits mais nos consciences, elles, nos consciences restent franches et limpides et ne supportent pas d'être traîner dans la boue des siècles obscurs.

Alors ce n'est certainement pas ce parti politique de la haine au quotidien qui viendra nous polluer l'existence, ni nous défendre, ni nous représenter.
Et s'ils croient que nous sommes tombés dans le silence de l'abruti heureux et que nous sommes prêt(e)s à leur accorder un gramme de confiance, ils se fourrent recto le rectum un tractopelle toutes griffes dehors.

Qu'on se le dise et qu'on se le dise haut et fort.



James.

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